L'âme folle du vent: Anya Blitzwind (fiche terminé, il ne manque plus que la validation)

Votre personnage

▬►Nom : Blitzwind ▬►Prénom : Anya ▬►Âge : 15 ans ▬►Orientation sexuel : Bisexuel ▬►Pays d'origine : Biélorussie

▬►Classe ( kasai, miku... ) : Kaze ▬►Professeur, élève, personnel : un élève ▬►Professeur de quoi ? ( si professeur )

Votre histoire

Comment vous expliquer mon histoire? Je ne le sais pas... Et pourtant je me dois d'essayer. Ne pas savoir n'est pas bien n'est-ce pas? Alors c'est parti....

Vous dire où je suis née est plutôt simple. Je suis née à Brest en Biélorussie, dans une petite famille d'origine allemande ce qui vous explique tout de suite mon nom de famille. Mon enfance fut plutôt heureuse, du moins je l'espère. Car voyez-vous, c'est là que réside mon gros problème. Je ne me souviens pas de mon enfance.

Mes souvenirs à moi, débutent le jour de mes dix ans. Dans le salon, devant mon gateau d'anniversaire dont les bougies venaient d'être éteintes. Je ne me souviens pas de les avoir soufflées. Je me suis réveillée là. Assise sur une chaise, la tête contre le rebord d'une table, dans un endroit qui ne me disait rien, dans un monde qui ne me disait rien, dans un corps dont je ne savais rien. Ma tête était vide. Je contemplai pendant un temps indéfini le rebord de la table ainsi qu'un bout de tapis sous mes yeux. Le tapis était bleu marin et vert clair. Un mélange étonnant. Il me plut je crois. Au bout d'un certain temps, j'ai relevé les yeux, contemplant un gateau avec un gros dix dessus planté dessus. Était-il pour moi? Je n'en savais rien. Ce fut la première chose que je me dis en le voyant. La deuxième chose fut que le gateau était tout troué. Il y avait un grand trou au milieu. Mes lèvres se relevèrent en un petit sourire. C'était rigolo de voir un gâteau troué par le milieu. Il ne devrait pas être comme ça. Je finis par contempler le reste de la pièce. Elle était sans dessus-dessous. Les chaises étaient renversés, les rideaux déchirés. Un tableau d'une jeune fille se tenait devant la carcasse d'une télévision sur le sol. Vu d'où je me tenais, on aurait pu croire que la télé projetait l'image du tableau. Je continuais à détailler la pièce. Une armoire se tenait sur le côté, ses portes arrachées de leurs gonds. Je me demande encore où elles sont passées. J ne les ai jamais retrouvées. Je me levais de ma chaise. Je chancelai légèrement sous mes jambes. Je sortis de la pièce. Je voulais voir le reste de la maison. Elle était comme la pièce que je venais de quitter. Tout était n'importe comment. Je me sentais de plus en plus intriguée par tout ceci. Qui ou quoi avait bien pu faire tout cela? J'arrivais finalement devant une porte, qui miraculeusement tenait encore debout. Des mots étaient écrits dessus:

"Chambre d'Anya Blitzwind"

Ce prénom et ce nom ne me disait rien. J'entrais dans la pièce. À ma gerande surprise, la chambre était intacte. Le lit était bien fait, il n'y avait rien par terre. C'était très étrange. Je fouillais tout, essayant de comprendre pourquoi elle avait été préservée. Tout ce que je trouvis d'intéressant fut la photo d'une petite fille aux cheveux blancs et aux yeux marrons oranges d'environ neuf ans tirant la langue à l'objectif. Ce devait être Anya. Je trouvis aussi un miroir. Je pus enfin voir à quoi je ressemblais. J'étais la fille de la photo. Il n'y avait aucune place au doute. Même cheveux blancs, même yeux, même forme du visage. J'étais donc dans ma chambre, chambre qui avait été épargnée. Pourquoi? Je sortis de ma chambre. je savais maintenant trois choses. J'avais dix ans, je m'appelais Anya Blitzwind et j'avais trouvé ma chambre qui se trouvait au deuxième étage. Il y en avait un troisième. Je montai les escaliers et me trouvais devant une porte fermée. Bizarre. Chaque porte que j'avais vu, sauf celle de ma chambre, n'était plus debout. Je posai ma mains sur la poigné et pour la première fois, j'eus un mauvais présentiment. Mais je l'ignorai.

J'ouvris la porte qui grinça. La lampe était allumée. J'aurais préféré qu'elle soit éteinte. Trois corps étaient allongés là. Deux adultes. Un homme et une femme, ainsi qu'un adolescent plus âgé que moi. Ils avaient les yeux grands ouverts et je pouvais lire encore dans leurs yeux la terreur et la surprise. Ils avaient deux autres similitudes. Tout les trois portaient des vêtements tailladés. On aurait dit que des lames tranchantes s'étaient amusées à les couper. Mais ce fut la deuxième ressemblance qui me donna le coup de grâce. Ils avait chacun un trou dans la poitrine au niveau du coeur. Ils baignaient dans une flaque d'hémoglobine. Je pense que je devins livide. Mes tripes se tordaient dans mon ventre et mon estomac jouait au yoyo.Mais je n'avais rien à vomir. Je levais les yeux de leurs cadavres, espérant ainsi pouvoir mieux respirer. Peine perdue. Car un message étaient écrit sur le mur d'en face. En lettre de sang:

"Le spectacle te plait? Sache que ces types sont tes parents et ton frère ainé. Tu veux savoir qui est le coupable? C'EST TOI! Le vent efface les mémoires..."

Je m'effondrai par terre et sombrai dans l'inconscience. Pourvu que tout cela ait été un cauchemar!

Je me réveillais le lendemain dans une chambre d'hôpital. Je mis un temps à tout me rappeler, mais cela finit par revenir. J'avais tué mes parents et mon frère!Je m'enfonçai sous les couvertures et laissais éclater mon chagrin et ma culpabilité. Je pleurai, je hurlai. Et vint un moment, où j'en eus tout bonnement assez. La colère fit son apparition. Mon corps se mit à trembler comme une feuille. Une sorte d'énergie se mit à parcourir tout mon corps. Je voulais tuer. L'envie du sang se mit à monter. Ke me mis à rigoler. Un rire d'abord calme qui devint rapidemen de plus en plus aigu, de plus en plus incontrolable. Le vent se mit à souffler dans la pièce. Mes cheveux d'un blancs si pur volait autour de mon visage, au traits défigurés. Mon regard fou tomba sur mon reflet dans une glace. Mes tyeux étaient tout blancs et brillaient. Tout mon corps émettait une puissante lueur blanche. Ma folie se propageait dans tout mon corps. Je me levai et quittai la pièce, le vent me suivant comme un chien docile. Sauf que le vent docile avec moi ne l'était pas avec les autres. les lampes éclataient à mon approche, les murs se fissuraient, le plancher se craquelait. Une infirmière, alertée par le bruit vint à ma rencotre et stoppa net. Elle n'avait pas eu le temps de crier. Elle était morte, transpercée. Le sang se répandit sur le carelage. Ce fut la vue de ce rouge qui me ramena à la réalité. Ma colère et ma folie disparurent, l'énergie destructrice reflua. Le vent tueur s'arrêta de souffler. Je viss avec horreur ce que j'avais fait. Sauf qu'à la différence que, contrairement à la première fois, je conservais mes souvenirs, ce qui était dix fois plus horrible. Je me détournai de ce spectacle macabre et m'enfuis. je sortis de l'hôpital en courant. personne ne m'arrêta. Je vis la sortie et la franchis.

Pendant cinq ans, je vécus dans les rues, vivant au petit bonheur la chance. M'accablant de reproche envers ce que j'avais fait. Je vivais dans la peur de me faire arrêter et de moi-même. Comment avais-je pu faire tout ça? Pourquoi le vent m'avait-il obéi? Pendant cinq ans, je n'eus plus aucune crise. Jusqu'au jour où, en trainant sur la place d'un marché, vêtue de haillon et le ventre vide, je cédai à la tentation et volai du pain. Le marchand de pain se mit à me poursuivre, criant au voleur. Bientôt, toute la foule fut à ma poursuite, j'essayai de leur échapper en zigzguant dans la foule. Je quittais la place du marché et fonçai à travers les rues, me guidant à l'instinct. Je tournai au coin d'une rue et me trouvai face à un cul de sac. je me retournais pour changer de directyion mais la foule m'avait déjà rattrapée. Le boulanger était devant moi et s'avançait vers moi avec un visage effrayant, les poins serrés. Je pris peur. ce type pouvait très bien me tuer s'in ne se contrôllait pas. Je fis ça par instinct. Je me recroquevillais sur moi-même et hurlais de peur. Je sentis une énergie, la même que le jour maudit où je me trouvais à l'hôpital, parcourir mes veines. Le vent se leva et baleya la rue. Finalement, l'énergie en moi reflua, le vent se calma. je relevais la tête. Il n'y avait plus personne devant moi. Toute la foule avait été reflué contre un mur en face de moi. Ils étaient tous inconscients, sauf le boulanger qui était maculé de sang, la gorge tranché. Lui, était mort. J'éclatais en sanglots. Un troisième mort par ma faute! J'entendis soudain un bruit de pas, dans la ruelle. Quelqu'un approchait. Je relevais la tête. Si c'était un policier, et bien qu'il m'arrête, je l'avais bien mérité. Mais ce n'était pas un policier. C'était un homme, en habit noir avec une cravate noire. Il se pencha vers moi et me dit:

"Bonjour manipulatrice du vent. Tu as l'air malheureux. Ça te dirait de venir avec moi dans une école au Japon nommé Tenki?"

Ce fut le début d'un nouveau chapitre.

Le physique

Me décrire physiquement? Comment dire?

Je suis plutôt grande pour une fille. Je fais environ 1m75. J'ai des cheveux blancs plus blancs que neige et des yeux marrons orangés. Ajoutez à cela un visage plutôt fin avec un air timide et malheureux en permanence et vous aurez mon visage. Le reste de mon corps est plutôt fin et élancé comme mon visage. J'ai de longs bras et une peau digne d'une porcelaine de Chine. Bref, je ressemble à un ange.

Cependant ma ressemblance avec un ange se réduit fortement lorsque ma folie me submerge. Dans ces moments là, je ressemble toujours à un ange, mes à un ange démoniaque. J'ai un sourire sadique, laissant voir mes dents blanches, et je me passe toujours la langue sur mes lèvres. J'allais presque oublier que mes yeux se mettent à briller d'une lueur blanche malsaine, ce qui renforce l'impression démoniaque.
Le caractère



Comment vous décrire ma psyché? Enfin je vais essayer.

Je suis d'un naturel timide et éffacé. J'essaye de ne pas me faire remarquer et je n'aime pas trop les gens. Ce n'est pas de leur faute. C'est à cause de moi. Car en mon esprit se trouve la folie. Une folie dévastatrice et mortelle. Folie que je n'arrive pas à contrôller et qui peut arriver n'importe quand. Je suis donc un danger pour les autres. C'est aussi pour cette raison que je n'ai pas d'amis. Il faut aussi dire que personne ne aurait voulu devenir l'ami(e) d'une fille en haillon vivant dans les rues. Je n'ai confiance en personne pas même en moi. Non, ce n'est pas tout à fait vrai. Je fais confiance uniaquement à l'école Tenki. J'espère qu'ils sauront m'aider à contrôller mon don sur le vent et ma folie. Je ne veux plus tuer. Pourquoi le vent tue? Ne peut-il pas soigner les gens? Je ne sais pas.